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mardi 30 novembre 2010

C'est grave docteur?

Comme j'avais encore mal au poignet fin de semaine dernière, je suis allé (enfin) consulter mon généraliste, qui m'a diagnostiqué une entorse.
Il m'a quand même prescrit une radio pour lever le doute sur une fêlure éventuelle ou un petit arrachement.
Chose faite ce matin. Résultat : "Pas de lésion ostéo-articulaire radiologiquement décelable sur l'ensemble des incidences réalisées."
Ouf, c'est déjà une bonne chose. Reste plus qu'à attendre que ça guérisse tranquillement, en même temps vu la météo qu'il fait en ce moment, la neige m'empêcherait de rouler...
Patience, patience...

dimanche 28 novembre 2010

Footing

Une fois n'est pas coutume, ca fait quinze jours que je n'ai pas roulé à cause de mon entorse au poignet droit ; je me décide donc à aller courir un peu dans les chemins, pour me changer les idées.
Un superbe soleil, température aux alentours de 0°C, l'herbe perd sa gelée de la nuit, go !
Je me trace un petit 10 km sur Mapsource et hop, transfert dans le GPS.
Et bien ca confirme une chose, je n'aime guère courir, enfin du moins, ça n'est pas super excitant de courir par chez moi dans des chemins tout droit, sans relief. Faudrait quand même que j'essaie dans les bois...
Ca a été long, j'aurais du partir plus tôt, car la terre collante de la Limagne au dégel s'agglutine sur mes chaussures...
10,5 km en 1h05, et pas fâché d'arriver, j'ai cru courir avec des haltères pendant les 5 derniers kilos.

dimanche 21 novembre 2010

Pas de vélo ce weekend...

Malgré une superbe météo ce dimanche (soleil, 10°C), repos forcé.
Mon poignet me fait toujours souffrir suite à ma chute du weekend dernier.
Du coup, aujourd'hui, ce sera entretien du vélo : nettoyage complet de la transmission (cassette, chaine, dérailleurs, plateaux), et réglage du dérailleur arrière (le 34 ne passait plus).
Rien de tel qu'une transmission qui marche au poil.
En attendant de pouvoir remonter sur le vélo...

mercredi 17 novembre 2010

Caméra embarquée : Les singletracks de la Garoutade

Enfin le montage vidéo de cette merveilleuse journée passée à arpenter les magnifiques singletracks et descentes enduro d'Ille sur Têt.
Pas facile de faire le tri dans les séquences tellement tout est superbe à rouler. Voici 15 minutes en caméra embarquée, pour vous donner l'envie d'y aller.



samedi 13 novembre 2010

Les pentes du Pic du Canigou

Pour cette journée, nous devions initialement aller rouler sur les hauteurs de Prades, mais la veille, Lalouize nous propose à la place d'aller poser nos crampons sur les pentes du Pic du Canigou. Une trace est rapidement mise au point, elle s'annonce rude avec un fort D+ qui nous attend.
Le Pic du Canigou et son bonnet blanc
Décollage donc aux alentours de 8 heures, il fait frais, le Canigou nous fait de l'ombre, mais une belle journée ensoleillée est prévue. Je me suis fait strapper le poignet droit avant de partir. La douleur est là, mais bon je gère. On quitte rapidement Vernet les Bains pour emprunter des petits sentiers qui nous font prendre rapidement de la hauteur. Le soleil pointe son nez, on enlève les manches longues.
On profite d'un superbe point de vue sur Villefranche de Conflent et son Fort Liberia sur les hauteurs. On en profite pour faire une petite photo de groupe, mise en scène par Lalouize, et nous repartons direction Ria Sirach, au terme d'une descente en monotrace bien ludique.
Coach, Mistigri, Plop, Tekila, Lalouize : la fine équipe!

La suite du parcours s'annonce joueuse, nous longeons le canal d'irrigation de Bohère sur un petit sentier joueur avec des bosses des murets, des feuilles. Le canal serpente tantôt en sous bois, tantôt en dévers, on s'amuse bien et on se tire la bourre.
Nous devons ensuite malheureusement quitter le canal pour effectuer un petit bout de portage poussage pour récupérer ensuite un single en crête que nous avalerons également à bonne allure.

C'est maintenant que les choses se compliquent, car du "gros" nous attend. On fait une pause avant d'attaquer la grosse difficulté de la journée, grimper sur les pentes du Canigou. On attaque par un gros poussage dans un sentier plein de caillasse où nous croiserons des chasseurs. L'un d'entre eux me dira que l'on est fou de venir là à vélo. C'est vrai qu'à ce moment là, il n'avait pas tort. Mais bon, nous continuons le poussage, sur environ près de 700m pour rejoindre la D27. Nous ferons une pause vers deux ânes qui viendront taper la discute avec nous.
L'ascension continue, nous rallions le Col de Millères à 830m vers le camping des Sauterelles, et l'on embraye direct par la route forestière des Cortalets qui va nous en faire baver... Une vingtaine d'épingles à avaler avec des revêtements multiples : goudron défoncé, béton, zones de caillasses, quelques racines... La montée est heureusement progressive, on monte au train et on fait une pause sandwichs au soleil à 1250m. Elle fait du bien celle là, mais il en reste encore à grimper. Remonter sur le vélo fait mal aux cuisses, on poursuit l'ascension chacun à notre rythme. Ravitaillement en eau effectué grâce à une source vers le ravin de Las Bigues. Nous arrivons à hauteur d'un refuge à 1600m et la grimpette continue. J'ai mal au c*l et aux jambes, j'ai mis tout à gauche depuis le début, mais le 24x32 se fait de plus en plus dur à tirer.
Je finis au mental pour finalement arriver au Col des Voltes, à 1820m d'altitude.
On vient de s'enquiller 1300m de D+ sur... 15km, ça pique les cuisses.
Enfin au sommet...

On se repose un petit moment, barres énergétiques et fruits secs et on amorce la descente, qui commence sur une large piste forestière où on se tire la bourre avec Coach et Lalouize, puis bifurquons à droite sur une monotrace super ludique, avec du caillou, de la racine, des feuilles. La prudence est de mise, mais on est enfin récompensés de tous les efforts fournis. Nous déboulons sur une petite clairière, au niveau du Pic Cogoullo, où se dresse une boîte aux lettres au milieu de nul part. A l'intérieur, un cahier avec des petits mots laissés par les randonneurs. Nous n'avons pas de stylo sur nous, dommage.

On poursuit ensuite sur le single technique, avec une multitude d'épingles au menu, génial, on se fait plaisir, ça sent la plaquette de frein, petits sauts sur les marches et racines, bref, un bon trip avant de rejoindre Fillols.
Plop en action 
Un dernier raidard pour remonter vers le Col de la Truja nous fera mal aux cuissots, mais ca y est c'est bon, il ne reste que de la descente à présent, ouf!
Bientôt la fin, on se rapproche de Vernet les Bains quand Eric "Coach" pète une nouvelle fois la patte de dérailleur... Ça fera la quatrième du weekend, du jamais vu. Il finira de rentrer en roue libre.

Bilan : 43 km, 8 heures, 1800m de D+ donc 1300m sur 15km, une sortie énooooorme en tout point!


Ça y est, c'est déjà fini, mais ce weekend hors de nos contrées a encore une fois tenu ses promesses, on en a pris plein les yeux, les bras et les cuisses, dans des paysages superbes et avec une météo exceptionnelle. Vivement le prochain !

vendredi 12 novembre 2010

Les sentiers de la Garoutade

Enfin, après des semaines d'attente insoutenable, il est finalement arrivé : le weekend arverne qui se tient cette fois ci dans les Pyrénées Orientales, dans le secteur d'Ille sur Têt.
Au programme de ces deux jours de VTT, un maximum de gavage de monotraces!
Eric "Coach", Thierry "Mistigri", Xavier "Plop", et moi-même retrouvons Louis "Lalouize" à notre point de chute jeudi soir, pour engloutir hamburgers frites maison et despérados. Ça s'annonce bien, vivement le lendemain matin.
Vue sur le Canigou
Rendez vous vers huit heures ce matin à Rodès pour commencer les circuit de la Garoutade 2010, que nous décidons de raccourcir d'une dizaine de kilos (secteur du barrage de Vinça) pour profiter un maximum des portions de descente. On retrouve au départ Fred "Le Belge" et Christian, des amis de Lalouize pour nous accompagner ce jour.

Ça y est c'est parti, beau temps au programme, la journée s'annonce inoubliable. Inoubliable elle le sera, mais pas forcément pour les raisons invoquées...
Après quelques kilomètres on amorce la première descente, celle de Rodès : sympathique avec du cailloux, des virages serrés, quelques marchounettes, mmh menu super appétissant dans les rayons du soleil levant, quand une erreur bête faillit me coûter ce superbe weekend : ma roue avant bute sur une pierre, je tombe assez lourdement sur le poignet droit après un beau soleil, aïe, ça pique sévère, je repars mais j'ai du mal à serrer le guidon, je fais un refus devant le dernier pierrier avant d'arriver sur la rivière. Mon poignet me lance, apparemment rien de cassé, mais une entorse très probablement, il enfle assez vite. Mon moral n'est pas au beau fixe, mais bon, je décide de continuer quand même... La journée commence bien, mais elle est loin d'être finie.

Au détour d'une petit single en sous bois, une branche passe dans le dérailleur d'Eric, bing : patte de dérailleur cassée. Je lui file la mienne pour dépanner, et c'est reparti.
Coach et Lalouize bricolent
Un peu plus loin sur un sentier somme toute sans aspérités apparentes, c'est cette fois la patte de dérailleur de Lalouize qui cède. Changement de patte plus un rilsan sur la chape, on a du faire environ dix kilomètres, on se dit que c'est pas possible, surtout qu'à ce moment là, Fred "Le Belge" remarque une boursuflure sur le top tube du cadre carbone de son cocodale Scalpel flambant neuf, comme ci le carbone avait subi une contrainte mécanique.
Fichues pattes...
On repart et on commence à bien s'amuser dans les singles du sud quand en bas d'une descente c'est la chaîne d'Eric qui lâche, surement fragilisée par la panne précédente...

 On arrive ensuite sur une portion particulière, une sorte de gymkhana avec des portions de montées descentes courtes, usantes et sans intérêt, que l'on aurait mieux fait de zibber...
Les descentes sont très engagées, on a la banane, on enroule les marches, arrache quelques sauts, c'est excellent, j'arrive à gèrer malgré ma douleur au poignet. La dernière descente avant d'arriver à Ille sur Têt est très éprouvante, elle brasse pas mal.
Superbe!
On refait le plein d'eau et on décide de se grimper la piste qui mène à la descente du réservoir pour casser la croûte là haut. De là haut on a une vue superbe.

Comme dessert, la descente du réservoir fera bien l'affaire : très ludique et à la fois quelques passages techniques nous émerveillent et nous amusent comme des gamins. C'est l'éclate totale. On remonte par une piste de "pompiers" et après un petit goulet en béton pour évacuer les eaux qui ravine, le dérailleur arrière de Lalouize cède et va s'emmailloter autour des rayons, brisant à nouveau la patte de dérailleur, sa deuxième de la journée, la troisième avec celle d'Eric !!! Bien sûr, on avait pas prévu d'en casser autant, la journée est donc finie pour lui, il finira d'arriver aux voitures gràce à des locaux. Merci à eux.

A ce moment on se dit que l'on est maudit, mais on continue malgré tout. On sait désormais pertinemment que l'on ne pourra pas finir totalement le parcours, la faute à toutes ces anomalies qui nous coûtent du temps, et la nuit tombe vers 17 heures en cette saison...

On remonte une dernière montée sur piste qui nous mène vers un mini dolmen, avant d'entamer notre dernière descente de la journée qui nous amènera à Bouleternère.
De là, on rejoint la voie ferrée que l'on suit pour rejoindre Rodès. Seul hic, on arrive à un tunnel ferroviaire, face à un mur à avaler. Portage, poussage dans les buissons nous raye la peau, on joue aux sangliers mais on se résout à faire demi tour, on rejoint la route et on file sur Rodès retrouver Lalouize qui nous attendait. Pfiioou, pas fâchés d'arriver, on se descend une bonne bière en se remémorant les péripéties de la journée, mais aussi en repensant aux magnifiques sentiers d'Ille sur Têt.
Christian aura la gentillesse de dépanner Lalouize en lui prêtant son Cocodale Rize, pour lui permettre de nous guider pour la sortie du lendemain.
Avant de rentrer au bercail, passage à la pharmacie acheter de la bande élasto pour mon poignet et cachetons anti douleurs.
Bilan à la fin de cette journée : beaucoup de casse, mais super heureux d'avoir pu profiter de ces sentiers.
Les monotraces et descentes de la Garoutade sont ludiques, techniques avec de belles difficultés qui nécessitent un bon bagage technique pour pouvoir les surmonter et surtout bien en profiter. Attention aussi à la fatigue accumulée, la sanction n'est pas loin en cas de manque de lucidité.
60 km pour environ 1850m de D+

samedi 6 novembre 2010

Sortie Enduro à Enval

Rendez vous à 13h30 à Enval avec Plop et Coach pour une petite séance roulage dans les hauts d'Enval. La pluie est annoncée pour dimanche, il faut en profiter. Temps couvert, une 15aine de degrés, c'est l'été indien. Les feuilles des arbres ont bien tapissé les sentiers depuis le weekend dernier, les couleurs jaunes et rouille sont très chouettes.

On attaque par le sentier de l'APAGE qui nous mène au petit pont de Crouzol, on enchaîne par la montée au château de Tournoël. Direction le Puy de la Banère, avant d'amorcer la première descente dans un petit single plein de feuilles.
On poursuit vers la descente de la Vierge, qu'on zibe pour emprunter le trail direct dans la pente dit "du goret".
On slalomme dans les sentiers du parcours de santé avant d'entamer une longue ascension qui nous amènera vers Moulet Marcenat, avant de prendre le direction des Gorges de Viallard, monotrace trialisante en descente sur du roc en haut, avant de rejoindre les bois plus bas.
Les réjouissances sont finies, il faut maintenant remonter sur le plateau au dessus de Tournoël, avant de rejoindre Beauvaleix et de descendre le "Sentier du Renard", qu'on descende sur un très bon rythme emmené par Plop.
C'est tellement bon qu'on décide de se le refaire avant de rentrer! Au pont de Crouzol on prend le sentier qui monte à droite, on poussera une partie en haut, et c'est reparti pour un tour gratuit du "Renard", qu'on dégringole lancés comme des frelons.

La lumière du jour baisse, il est temps de retourner aux voitures.

Bilan du tour : 24km - 800m de D+


vendredi 5 novembre 2010

Remplacement des galets de dérailleur

Les galets de mon dérailleur arrière sont usés jusqu'à la moëlle, surtout celui qui est en bas de la chape, comme le montre la photo.
Il était urgent de les remplacer, c'est chose faite, deux galets Tacx à 10 euros chez mon bouclard ont pris leur place.
A gauche, les galets neufs, à droite les anciens
 Et voilà, c'est reparti pour un tour

Astuce pour tige de selle Gravity Dropper

J'ai dernièrement changé ma selle car les rails s'étaient tordus, à cause du chariot de selle de la tige de selle téléscopique Gravity Dropper.
En effet, les rails reposent sur une trop petite surface, comme on peut le voir sur la photo ci-dessous. La forme de demi-lune génère trop de contrainte.
Heureusement il est possible de remplacer cette demi-lune par le chariot de selle de votre précédente tige de selle, par exemple.
 Résultat : une surface d'appui largement augmentée et donc moins de contraintes pour les rails de la selle. Et voilà :

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