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vendredi 31 décembre 2010

2010 : Le bilan

L'année est terminée, l'heure est au bilan. 2010 aura été pour l'instant ma "meilleure" année de roulage, certes ça ne fait que 3 ans que je pratique le VTT sérieusement, mais je pense que mon Zesty y est pour beaucoup également. Je l'ai eu fin 2009, donc j'ai roulé tout l'hiver 2009-2010 à son guidon. Il m'a vraiment donné le virus du VTT.
Pour ce qui est de la partie "chiffres", j'aurais effectué 55 sorties cette année et parcouru environ 2253 km. J'aurais eu l'occasion de rouler dans pas mal d'endroits superbes : dans le 34 au Lac du Salagou, à St Guilhem le Désert, mais aussi dans le Massif du Caroux et à Vieussan; dans le 66 à Ille sur Têt et sur les pentes du Pic du Canigou; dans le 83 du côté de Cavalaire sur Mer.
Ce fût l'occasion aussi de rencontrer des gens, qui deviennent au fil des sorties des copains, c'est l'occasion aussi de mettre des visages sur des pseudos de forum ; je pense à Yann "Garik" avec qui j'ai roulé une journée cet été et que je serais surement amené à revoir en 2011, et aussi à Vincent "Vincent3569" et Christophe "Titof6.9", tous 3 membres du site Utagawavtt.
Au niveau du physique, une chute pourtant anodine sur le poignet m'aura écarté des chemins pendant un mois.
J'espère que 2011 sera une année tout aussi passionante...

Pour finir, une sympathique petite vidéo des meilleurs moments 2010, réalisée par Xavier alias "Plop"

jeudi 30 décembre 2010

Dernière sortie de l'année.


Pour cette dernière sortie, la météo s'annonçait clémente : 7 - 8°C envion et des éclaircies, l'occasion donc de remettre le short pour aller rouler. Eric nous concocte une petite sortie au départ de La Cassière, bourgade connue pour son lac. Rendez vous est pris pour un départ à 13h30 avec Xavier, nous sommes trois pour cette virée.
La sortie fait une boucle qui nous mènera du côté de Saint Saturnin, vers l'abbaye de N.D. de Randol pour revenir par Cournols.
Les conditions de roulage sont vraiment difficiles : terrain sablonneux ou boueux et bien sûr gorgé d'eau après la fonte des neiges. J'ai un mal fou à tirer mes High Roller en 2.35, de vraies enclumes, surtout à l'arrière. Après une petite côte pour se mettre en jambes, on enchaînera environ près de 400 mètres de D-. Bref on s'est bien amusés dans les petits passages sinueux et ludiques et on a quand même pu envoyer pas trop mal, je me suis même pris une petite boîte, heureusement sans conséquence et on s'est bien crépi de boue aussi.
Panne peu ordinaire, j'ai quand même réussi à casser la valve tubeless de ma roue arrière, la faute à pas de chance, et donc obligé de taxer une chambre à air à Xavier... J'adore faire de la mécanique dans la boue... En plus j'ai percé cette même chambre à air un peu plus loin sur le parcours, rebelote, cette fois-ci, je taxe celle d'Eric, ben oui j'ai changé de sac dernièrement et j'ai pas tout remis dans l'autre.
Du coup, le timing prévu a été bien amoché à et on a dû terminer les trois ou quatre derniers kilomètres par la route, après une séance de portage dans des troncs d'arbre, fraîchement abattus, la nuit tombant à grands pas.
Bilan : 30 km pour 700 de D+




dimanche 26 décembre 2010

Ride in ze peuf !

Au lendemain de Noël, il est important de se dégourdir un peu après une grosse journée à manger de la dinde, pour garder la forme. Ça tombe bien, il fait un soleil magnifique malgré le petit -5°C dehors. Départ est pris à Orcines en début d'après midi, en compagnie d'Éric "Zed", Laurent "Dustplayer", Xavier "Plop", et moi.
Les sentiers sont enneigés, heureusement pas trop, environ 5 cm. Elle est gelée, et hyper poudreuse. On part en direction du Golf des Volcans, puis on bifurque direction le camp militaire de la Fontaine du Berger. La cour est recouverte d'une épaisse couche de glace, attention aux glissades. On traverse prudemment la D941, et l'on continue dans un pré pour prendre de la hauteur (1020m) au-dessus de la Croix de Ternant. Là-haut, les rochers et les végétaux sont recouverts d'une épaisse couche de glace, accumulée par le vent d'Ouest et la brume de ces derniers jours. La Chaîne des Puys est superbe, la lumière aussi, on a une vue superbe sur la Limagne et sur les Monts du Forez de l'autre côté. Un joli petit single descendant nous mène à Ternant. On poursuit ensuite notre descente dans le ruisseau des Valettes, qui partage son lit avec le chemin. L'eau est glacée en surface, elle se brise sous notre passage, on roule en tachant de ne pas se vautrer ou poser le pied dans l'eau. C'était assez rigolo.
On embraye ensuite sur une descente monotrace au milieu des arbres, toujours dans la neige, on a l'impression de rouler sur des oeufs. Laurent ouvre la trace, on surprend un beau chevreuil qui ne demandera pas son reste. J'ai la banane, on finit au bord de la voie ferrée. Mon poignet ne va pas trop mal, je suis content. On achève notre descente au dessus de Nohanent. Seulement après la Gare de Durtol, il faut songer à remonter, et là le problème, c'est que mon dérailleur avant est complètement prisonnier de la glace! A cause du ruisseau de tout à l'heure très certainement. Bon on y va ça monte par les Bois de Durtol jusqu'à Bonnabry, après avoir contourné le Puy Mergué. Certaines parties me font mal aux cuisses, j'ai plus trop la caisse pour tirer le 36 devant, le manque de roulage se paye cash.
Dernière partie ludique, toujours au milieu de nulle part, dans les bois, avant le retour aux voitures.
Finalement comme dit Laurent : "On a fait le boulot!"
Au final, une sortie sympa; un peu plus de 20 km pour 700m de D+


LE DIAPORAMA

mercredi 15 décembre 2010

Sortie "by night"

Ce soir en rentrant du boulot vers 18h00, la neige se met à tomber dans les phares de la voiture. Une neige fine, poudreuse et gelée. Je me dit que c'est pas mal du tout comme conditions climatiques pour aller tester ma nouvelle veste Arc'teryx (hardshell 2 in 1), histoire de voir sur le terrain l'efficacité du gore tex et du windstopper.
Il est 21h30, les enfants sont couchés, je me prépare : cuissard long, chaussures Northwave Celsius, gants Shimano hiver, maillot technique décathlon manches longues près du corps, bonnet, et j'enfile la veste. Ma femme me traite de fou. Dehors en statique je suis bien, je ne ressens pas vraiment le froid malgré le -4 ambiant. Il y a maintenant 5cm de poudreuse et il neigeotte encore.
C'est parti, j'allume la frontale et je pars dans le chemin devant chez moi. Pfiou en roulant, le froid me glace le visage, ça me "refroidit". Mais au bout de 5 minutes, ça y est, mon corps est "chaud", tout va bien, je roule dans des sentiers dégagés et j'éteins la Petzl, le clair obscur est suffisant pour me repérer.
Je roule pendant une grosse heure, histoire de boucler une petite quinzaine de km. Au cours de cette sortie, je ne serais pas trempé comme c'était le cas avec mon coupe-vent, la veste joue son parfait rôle de protection contre les éléments et régule parfaitement la chaleur. De retour chez moi, vers 22h40, il fait -6 et je suis bien...

samedi 11 décembre 2010

De retour sur le vélo, enfin !

Je n'avais pas roulé depuis le weekend du 11 novembre, suite à ma blessure au poignet, repos oblige. Après 4 weekends sans roulage, ça commençait a devenir long. Mon poignet étant sur la bonne voie, je me laisse tenter par l'invitationd'Éric "Coach" pour aller rouler cet après midi. On se retrouve à Enval, devant chez Jacques. Il y a du monde : Laurent, Nicolas, Alex, Xavier, Michel, Éric et Éric, Tom, et un ou deux que j'oublie sûrement...
Il fait un beau soleil cet après midi mais la température est plutôt de saison, il fait environ 3 ou 4 degrés. Après avoir pris un cours de remontage rapide d'un vélo avec Laurent (remontage fourche plus étrier plus poste de pilotage), c'est parti, direction Chatel-Guyon et son Mont Chalusset. Direction ensuite la vallée des Prades pour prendre de la hauteur, avec une séance de poussage pour mieux s'amuser dans la portion descendante, jusqu'au gué du Ruisseau des Grosliers que je franchis comme un porc (merci les shoes Goretex), et on remonte ensuite rapidement dans le parcours de santé pour rejoindre le parc Écureuil. On enchaîne une portion technico-ludique dans la pierre, avant de poursuivre dans la section de racines qui déboule dans la Vallée du Sans Soucis. Ici le soleil n'a pas fait fondre les flaques, tout est gelé, ça croustille sous les pneus... On remonte ensuite par le sentier des Grands Tournants, que j'aurais du mal à gravir vers la fin à cause du manque de roulage ces derniers temps. Après une petite barre, on finit de grimper pour arriver à Douhady.
Le soleil commence sa descente derrière la Chaîne des Puys, c'est super beau. On poursuit dans le petit sentier de pierres ludique au dessus du Centre Clémentel, derrière Montaclier, l'occasion de lâcher les freins et d'arracher quelques sauts. On remonte un bout de la D138 et je découvre une variante à Laurent un petit sentier rigolo dans l'herbe et quelques pierres qui va nous mener au sentier de l'Apage, qu'on enquille à bon rythme. Retour ensuite par les Gorges d'Enval, avant de rallier les voitures.

Petite sortie (24km pour 750 m de D+), mais honnêtement bien suffisant pour moi car ça a quand même pas trop mal roulé. Mon poignet était bien content d'arriver aussi...

mercredi 8 décembre 2010

Inscription Garoutade 2011

Aujourd'hui il fallait être attentif et ne pas traîner pour décrocher son ticket d'entrée pour participer à la Garoutade 2011... les 350 places se sont arrachées en 13h. J'ai décroché mon sésame. Après le super week end arverne où l'on a pu découvrir les sentiers d'Ille sur Têt, j'avais une énorme envie d'y poser mes crampons à nouveau.
Le parcours 2011 nous promet environ 70 km pour 3000 de D+. Un dénivelé assez gros surtout pour fin février, mais en général les montées se font sur de larges pistes sans difficultés particulières. Il y aura apparemment un bout de portage. Mais la Garoutade est surtout réputée pour ses superbes descentes techniques, typées enduro, alternant pierres et racines, soit au milieu "du maquis", soit en sous bois.
Saluons aussi l'organisation qui veut que cette randonnée soit éco-reponsable.
Coach et Tricky, deux autres membres arvernes, ont décroché leur ticket également.

mardi 30 novembre 2010

C'est grave docteur?

Comme j'avais encore mal au poignet fin de semaine dernière, je suis allé (enfin) consulter mon généraliste, qui m'a diagnostiqué une entorse.
Il m'a quand même prescrit une radio pour lever le doute sur une fêlure éventuelle ou un petit arrachement.
Chose faite ce matin. Résultat : "Pas de lésion ostéo-articulaire radiologiquement décelable sur l'ensemble des incidences réalisées."
Ouf, c'est déjà une bonne chose. Reste plus qu'à attendre que ça guérisse tranquillement, en même temps vu la météo qu'il fait en ce moment, la neige m'empêcherait de rouler...
Patience, patience...

dimanche 28 novembre 2010

Footing

Une fois n'est pas coutume, ca fait quinze jours que je n'ai pas roulé à cause de mon entorse au poignet droit ; je me décide donc à aller courir un peu dans les chemins, pour me changer les idées.
Un superbe soleil, température aux alentours de 0°C, l'herbe perd sa gelée de la nuit, go !
Je me trace un petit 10 km sur Mapsource et hop, transfert dans le GPS.
Et bien ca confirme une chose, je n'aime guère courir, enfin du moins, ça n'est pas super excitant de courir par chez moi dans des chemins tout droit, sans relief. Faudrait quand même que j'essaie dans les bois...
Ca a été long, j'aurais du partir plus tôt, car la terre collante de la Limagne au dégel s'agglutine sur mes chaussures...
10,5 km en 1h05, et pas fâché d'arriver, j'ai cru courir avec des haltères pendant les 5 derniers kilos.

dimanche 21 novembre 2010

Pas de vélo ce weekend...

Malgré une superbe météo ce dimanche (soleil, 10°C), repos forcé.
Mon poignet me fait toujours souffrir suite à ma chute du weekend dernier.
Du coup, aujourd'hui, ce sera entretien du vélo : nettoyage complet de la transmission (cassette, chaine, dérailleurs, plateaux), et réglage du dérailleur arrière (le 34 ne passait plus).
Rien de tel qu'une transmission qui marche au poil.
En attendant de pouvoir remonter sur le vélo...

mercredi 17 novembre 2010

Caméra embarquée : Les singletracks de la Garoutade

Enfin le montage vidéo de cette merveilleuse journée passée à arpenter les magnifiques singletracks et descentes enduro d'Ille sur Têt.
Pas facile de faire le tri dans les séquences tellement tout est superbe à rouler. Voici 15 minutes en caméra embarquée, pour vous donner l'envie d'y aller.



samedi 13 novembre 2010

Les pentes du Pic du Canigou

Pour cette journée, nous devions initialement aller rouler sur les hauteurs de Prades, mais la veille, Lalouize nous propose à la place d'aller poser nos crampons sur les pentes du Pic du Canigou. Une trace est rapidement mise au point, elle s'annonce rude avec un fort D+ qui nous attend.
Le Pic du Canigou et son bonnet blanc
Décollage donc aux alentours de 8 heures, il fait frais, le Canigou nous fait de l'ombre, mais une belle journée ensoleillée est prévue. Je me suis fait strapper le poignet droit avant de partir. La douleur est là, mais bon je gère. On quitte rapidement Vernet les Bains pour emprunter des petits sentiers qui nous font prendre rapidement de la hauteur. Le soleil pointe son nez, on enlève les manches longues.
On profite d'un superbe point de vue sur Villefranche de Conflent et son Fort Liberia sur les hauteurs. On en profite pour faire une petite photo de groupe, mise en scène par Lalouize, et nous repartons direction Ria Sirach, au terme d'une descente en monotrace bien ludique.
Coach, Mistigri, Plop, Tekila, Lalouize : la fine équipe!

La suite du parcours s'annonce joueuse, nous longeons le canal d'irrigation de Bohère sur un petit sentier joueur avec des bosses des murets, des feuilles. Le canal serpente tantôt en sous bois, tantôt en dévers, on s'amuse bien et on se tire la bourre.
Nous devons ensuite malheureusement quitter le canal pour effectuer un petit bout de portage poussage pour récupérer ensuite un single en crête que nous avalerons également à bonne allure.

C'est maintenant que les choses se compliquent, car du "gros" nous attend. On fait une pause avant d'attaquer la grosse difficulté de la journée, grimper sur les pentes du Canigou. On attaque par un gros poussage dans un sentier plein de caillasse où nous croiserons des chasseurs. L'un d'entre eux me dira que l'on est fou de venir là à vélo. C'est vrai qu'à ce moment là, il n'avait pas tort. Mais bon, nous continuons le poussage, sur environ près de 700m pour rejoindre la D27. Nous ferons une pause vers deux ânes qui viendront taper la discute avec nous.
L'ascension continue, nous rallions le Col de Millères à 830m vers le camping des Sauterelles, et l'on embraye direct par la route forestière des Cortalets qui va nous en faire baver... Une vingtaine d'épingles à avaler avec des revêtements multiples : goudron défoncé, béton, zones de caillasses, quelques racines... La montée est heureusement progressive, on monte au train et on fait une pause sandwichs au soleil à 1250m. Elle fait du bien celle là, mais il en reste encore à grimper. Remonter sur le vélo fait mal aux cuisses, on poursuit l'ascension chacun à notre rythme. Ravitaillement en eau effectué grâce à une source vers le ravin de Las Bigues. Nous arrivons à hauteur d'un refuge à 1600m et la grimpette continue. J'ai mal au c*l et aux jambes, j'ai mis tout à gauche depuis le début, mais le 24x32 se fait de plus en plus dur à tirer.
Je finis au mental pour finalement arriver au Col des Voltes, à 1820m d'altitude.
On vient de s'enquiller 1300m de D+ sur... 15km, ça pique les cuisses.
Enfin au sommet...

On se repose un petit moment, barres énergétiques et fruits secs et on amorce la descente, qui commence sur une large piste forestière où on se tire la bourre avec Coach et Lalouize, puis bifurquons à droite sur une monotrace super ludique, avec du caillou, de la racine, des feuilles. La prudence est de mise, mais on est enfin récompensés de tous les efforts fournis. Nous déboulons sur une petite clairière, au niveau du Pic Cogoullo, où se dresse une boîte aux lettres au milieu de nul part. A l'intérieur, un cahier avec des petits mots laissés par les randonneurs. Nous n'avons pas de stylo sur nous, dommage.

On poursuit ensuite sur le single technique, avec une multitude d'épingles au menu, génial, on se fait plaisir, ça sent la plaquette de frein, petits sauts sur les marches et racines, bref, un bon trip avant de rejoindre Fillols.
Plop en action 
Un dernier raidard pour remonter vers le Col de la Truja nous fera mal aux cuissots, mais ca y est c'est bon, il ne reste que de la descente à présent, ouf!
Bientôt la fin, on se rapproche de Vernet les Bains quand Eric "Coach" pète une nouvelle fois la patte de dérailleur... Ça fera la quatrième du weekend, du jamais vu. Il finira de rentrer en roue libre.

Bilan : 43 km, 8 heures, 1800m de D+ donc 1300m sur 15km, une sortie énooooorme en tout point!


Ça y est, c'est déjà fini, mais ce weekend hors de nos contrées a encore une fois tenu ses promesses, on en a pris plein les yeux, les bras et les cuisses, dans des paysages superbes et avec une météo exceptionnelle. Vivement le prochain !

vendredi 12 novembre 2010

Les sentiers de la Garoutade

Enfin, après des semaines d'attente insoutenable, il est finalement arrivé : le weekend arverne qui se tient cette fois ci dans les Pyrénées Orientales, dans le secteur d'Ille sur Têt.
Au programme de ces deux jours de VTT, un maximum de gavage de monotraces!
Eric "Coach", Thierry "Mistigri", Xavier "Plop", et moi-même retrouvons Louis "Lalouize" à notre point de chute jeudi soir, pour engloutir hamburgers frites maison et despérados. Ça s'annonce bien, vivement le lendemain matin.
Vue sur le Canigou
Rendez vous vers huit heures ce matin à Rodès pour commencer les circuit de la Garoutade 2010, que nous décidons de raccourcir d'une dizaine de kilos (secteur du barrage de Vinça) pour profiter un maximum des portions de descente. On retrouve au départ Fred "Le Belge" et Christian, des amis de Lalouize pour nous accompagner ce jour.

Ça y est c'est parti, beau temps au programme, la journée s'annonce inoubliable. Inoubliable elle le sera, mais pas forcément pour les raisons invoquées...
Après quelques kilomètres on amorce la première descente, celle de Rodès : sympathique avec du cailloux, des virages serrés, quelques marchounettes, mmh menu super appétissant dans les rayons du soleil levant, quand une erreur bête faillit me coûter ce superbe weekend : ma roue avant bute sur une pierre, je tombe assez lourdement sur le poignet droit après un beau soleil, aïe, ça pique sévère, je repars mais j'ai du mal à serrer le guidon, je fais un refus devant le dernier pierrier avant d'arriver sur la rivière. Mon poignet me lance, apparemment rien de cassé, mais une entorse très probablement, il enfle assez vite. Mon moral n'est pas au beau fixe, mais bon, je décide de continuer quand même... La journée commence bien, mais elle est loin d'être finie.

Au détour d'une petit single en sous bois, une branche passe dans le dérailleur d'Eric, bing : patte de dérailleur cassée. Je lui file la mienne pour dépanner, et c'est reparti.
Coach et Lalouize bricolent
Un peu plus loin sur un sentier somme toute sans aspérités apparentes, c'est cette fois la patte de dérailleur de Lalouize qui cède. Changement de patte plus un rilsan sur la chape, on a du faire environ dix kilomètres, on se dit que c'est pas possible, surtout qu'à ce moment là, Fred "Le Belge" remarque une boursuflure sur le top tube du cadre carbone de son cocodale Scalpel flambant neuf, comme ci le carbone avait subi une contrainte mécanique.
Fichues pattes...
On repart et on commence à bien s'amuser dans les singles du sud quand en bas d'une descente c'est la chaîne d'Eric qui lâche, surement fragilisée par la panne précédente...

 On arrive ensuite sur une portion particulière, une sorte de gymkhana avec des portions de montées descentes courtes, usantes et sans intérêt, que l'on aurait mieux fait de zibber...
Les descentes sont très engagées, on a la banane, on enroule les marches, arrache quelques sauts, c'est excellent, j'arrive à gèrer malgré ma douleur au poignet. La dernière descente avant d'arriver à Ille sur Têt est très éprouvante, elle brasse pas mal.
Superbe!
On refait le plein d'eau et on décide de se grimper la piste qui mène à la descente du réservoir pour casser la croûte là haut. De là haut on a une vue superbe.

Comme dessert, la descente du réservoir fera bien l'affaire : très ludique et à la fois quelques passages techniques nous émerveillent et nous amusent comme des gamins. C'est l'éclate totale. On remonte par une piste de "pompiers" et après un petit goulet en béton pour évacuer les eaux qui ravine, le dérailleur arrière de Lalouize cède et va s'emmailloter autour des rayons, brisant à nouveau la patte de dérailleur, sa deuxième de la journée, la troisième avec celle d'Eric !!! Bien sûr, on avait pas prévu d'en casser autant, la journée est donc finie pour lui, il finira d'arriver aux voitures gràce à des locaux. Merci à eux.

A ce moment on se dit que l'on est maudit, mais on continue malgré tout. On sait désormais pertinemment que l'on ne pourra pas finir totalement le parcours, la faute à toutes ces anomalies qui nous coûtent du temps, et la nuit tombe vers 17 heures en cette saison...

On remonte une dernière montée sur piste qui nous mène vers un mini dolmen, avant d'entamer notre dernière descente de la journée qui nous amènera à Bouleternère.
De là, on rejoint la voie ferrée que l'on suit pour rejoindre Rodès. Seul hic, on arrive à un tunnel ferroviaire, face à un mur à avaler. Portage, poussage dans les buissons nous raye la peau, on joue aux sangliers mais on se résout à faire demi tour, on rejoint la route et on file sur Rodès retrouver Lalouize qui nous attendait. Pfiioou, pas fâchés d'arriver, on se descend une bonne bière en se remémorant les péripéties de la journée, mais aussi en repensant aux magnifiques sentiers d'Ille sur Têt.
Christian aura la gentillesse de dépanner Lalouize en lui prêtant son Cocodale Rize, pour lui permettre de nous guider pour la sortie du lendemain.
Avant de rentrer au bercail, passage à la pharmacie acheter de la bande élasto pour mon poignet et cachetons anti douleurs.
Bilan à la fin de cette journée : beaucoup de casse, mais super heureux d'avoir pu profiter de ces sentiers.
Les monotraces et descentes de la Garoutade sont ludiques, techniques avec de belles difficultés qui nécessitent un bon bagage technique pour pouvoir les surmonter et surtout bien en profiter. Attention aussi à la fatigue accumulée, la sanction n'est pas loin en cas de manque de lucidité.
60 km pour environ 1850m de D+

samedi 6 novembre 2010

Sortie Enduro à Enval

Rendez vous à 13h30 à Enval avec Plop et Coach pour une petite séance roulage dans les hauts d'Enval. La pluie est annoncée pour dimanche, il faut en profiter. Temps couvert, une 15aine de degrés, c'est l'été indien. Les feuilles des arbres ont bien tapissé les sentiers depuis le weekend dernier, les couleurs jaunes et rouille sont très chouettes.

On attaque par le sentier de l'APAGE qui nous mène au petit pont de Crouzol, on enchaîne par la montée au château de Tournoël. Direction le Puy de la Banère, avant d'amorcer la première descente dans un petit single plein de feuilles.
On poursuit vers la descente de la Vierge, qu'on zibe pour emprunter le trail direct dans la pente dit "du goret".
On slalomme dans les sentiers du parcours de santé avant d'entamer une longue ascension qui nous amènera vers Moulet Marcenat, avant de prendre le direction des Gorges de Viallard, monotrace trialisante en descente sur du roc en haut, avant de rejoindre les bois plus bas.
Les réjouissances sont finies, il faut maintenant remonter sur le plateau au dessus de Tournoël, avant de rejoindre Beauvaleix et de descendre le "Sentier du Renard", qu'on descende sur un très bon rythme emmené par Plop.
C'est tellement bon qu'on décide de se le refaire avant de rentrer! Au pont de Crouzol on prend le sentier qui monte à droite, on poussera une partie en haut, et c'est reparti pour un tour gratuit du "Renard", qu'on dégringole lancés comme des frelons.

La lumière du jour baisse, il est temps de retourner aux voitures.

Bilan du tour : 24km - 800m de D+


vendredi 5 novembre 2010

Remplacement des galets de dérailleur

Les galets de mon dérailleur arrière sont usés jusqu'à la moëlle, surtout celui qui est en bas de la chape, comme le montre la photo.
Il était urgent de les remplacer, c'est chose faite, deux galets Tacx à 10 euros chez mon bouclard ont pris leur place.
A gauche, les galets neufs, à droite les anciens
 Et voilà, c'est reparti pour un tour

Astuce pour tige de selle Gravity Dropper

J'ai dernièrement changé ma selle car les rails s'étaient tordus, à cause du chariot de selle de la tige de selle téléscopique Gravity Dropper.
En effet, les rails reposent sur une trop petite surface, comme on peut le voir sur la photo ci-dessous. La forme de demi-lune génère trop de contrainte.
Heureusement il est possible de remplacer cette demi-lune par le chariot de selle de votre précédente tige de selle, par exemple.
 Résultat : une surface d'appui largement augmentée et donc moins de contraintes pour les rails de la selle. Et voilà :

samedi 30 octobre 2010

Weekend de Toussaint

La météo de ce weekend prolongé de Toussaint n'augurait rien de bon, mais finalement cet après midi était propice à rouler dans les chemins, malgré la grosse radée du matin. Un soleil timide et une 15aine de degrés, conditions idéales.
Rendez vous est pris avec Plop à Chatel-Guyon pour une petite sortie improvisée. On attaque par une variante des "Grands Tournants" que je ne connaissais pas et qui nous met dans le rouge direct, ca grimpe très fort. Une fois arrivé au sommet on se laisse rouler sur le plateau pour se faire la descente du Renard, qu'on se fait d'une traite, à fond... Toujours aussi bon ce chemin.
Les couleurs automnales sont superbes et donnent un certain charme aux paysages




On passe vers Crouzol et on remonte au château de Tournoël. On embraye ensuite l'ascension du Puy de la Banère pour se faire la descente qui suit, direction la Vierge et la descente dite des "Gorets". Une fois en bas il faut bien remonter et le sentier qui suit puise beaucoup d'énergie. On finit finalement par arriver à Moulet Marcenat, et nous tirons sur le retour par Charbonnières et le château de Chazeron.



















L'idée nous est venue de finir ce sympathique tour par la piste de DH de Chatel, avec le final par le single technique trialisant qui débouche dans la vallée du Sans Soucis, avant de rejoindre les voitures.
31 km - 815m de D+


jeudi 28 octobre 2010

Roulements de pédalier

Après un an de bons et loyaux services et 2500 km plus loin, le pédalier de mon zesty avait pris du jeu et couinait pendant les montées, il devenait donc urgent de changer les roulements.
Les zesty sont équipés d'origine de roulements non étanches de type pressfit.
Pas évident au premier abord, j'ai trouvé de bonnes astuces sur le blog vtt a 2. J'ai quand même bien galéré, mais finalement, après près d'1h30 d'efforts, les nouveaux roulements étaient en place dans le boîtier.
Les nouveaux roulements sont étanches, calibre Abec 3, réf MR2437LLB chez www.enduroforkseals.com

Reçus en moins d'une semaine des Etats Unis pour une quinzaine d'euros port compris, c'est plutôt une bonne opération.
Testés dans la foulée le weekend dernier, ça fonctionne impeccablement bien.
C'est donc reparti pour un tour...

Machine de guerre...

Un an, ca fera un an dans deux jours et tout juste 2500 km que je roule au guidon de mon Zesty. Un vélo extraordinaire qui me donne la banane à chaque sortie.
Un bon compromis avec ses 140 mm de débattement qui permettent de rouler avec un très bon rendement, mais aussi d'envoyer suffisamment en descente pour franchir pierriers, racines et marches...



Je lui ai apporté quelques transformations pour l'enduriser un poil : roues xt, pneus maxxis high roller, montage du pédalier en double plateaux 24/36, un bashring Raceface, une roulette antidérailleur Shamann Commander et une tige de selle télescopique Gravity Dropper classic, bien pratique dans le pentu.

Ca y est, j'ai mon blog...

Et oui, j'ai sauté le pas.
Alors pourquoi avoir créé ce blog? Tout simplement pour essayer d'y consigner mes sorties loisirs effectuées en VTT, principalement dans ma région, l'Auvergne, et plus précisément dans le Puy de Dôme et sa Chaîne des Puys.
Mais je compte bien également en profiter pour y intégrer les escapades par monts et par vaux que j'ai pu faire avec mes amis, ainsi que celles à venir.
Un blog qui me servira donc aussi de journal de bord, pour ne pas oublier ces merveilleux moments passés sur nos sentiers.

samedi 2 octobre 2010

Endurolle 2010

Ce premier samedi d'octobre se tenait la première course enduro organisée par le VTT Club des Bois Noirs, l'Endurolle.
Le concept de la course : départ du Col de la Charme au dessus d'Arconsat pour arriver 35 km plus loin à Saint Rémy sur Durolle. Au cours de ce parcours en ligne, 5 spéciales chronomètrées. On additionne les chronos de chaque spéciale et l'on obtient le classement scratch.

80 participants s'étaient donc donnés rendez-vous pour en découdre dans les spéciales, et surtout prendre du plaisir sur les pentes du Puy de Montoncel.
Dans la course...




















J'y suis allé avec mes amis Plop et Coach, ainsi qu'une petite dizaine de membres du forum arverne.
Ce fut super sympa, avec pas mal d'adrénaline notamment le compte à rebours avant les départs, se donner toujours à fond partout, j'ai adoré.
Juste avant l'arrivée finale














A l'arrivée, une bonne potée auvergnate pour requinquer tout le monde, c'était très bon.
Victoire du trio infernal du Pointezie Crew, emmené par Laurent Meunier.
Pour ma part pour ma première compétition, je finis 6ème au classement définitif, une performance dont je ne suis pas peu fier :)
Plop et Coach terminent dans le top 30

mercredi 25 août 2010

Reconnaissance de l'étape n°1 de la GTMC avec Yann

Juste avant le départ
Le 18 Août, Yann, alias "Garik" sur le forum Utagawavtt, lance une perche dans son topic de préparation de la GTMC pour reconnaître la première étape de ce raid.GTMC, j'y pense depuis deux ans, et 2011 sera peut être la bonne justement avec Yann. Affaire à suivre.
Comme j'aime bien faire découvrir ma région auprès de mes amis et quelquefois des touristes, je décide de l'accompagner pour cette première étape. Ce sera de plus ma première rencontre IRL avec un Utagawiste.
Rendez vous est donc pris pour le 25 août à Durtol de bonne heure pour une bonne journée de VTT. On fait vite connaissance, et on décolle pour prendre rapidement de la hauteur sur le Chevalard. On a un temps magnifique, la vue sur Clermont est superbe.
Direction Volvic, où nous attend le premier gros coup de cul de la journée. On enchaîne ensuite sur des sentiers alternant chemins à découverts avec vue sur la Chaîne des Puys et sous bois jusqu'au Vauriat, où nous ferons une halte casse croute et bière au restaurant routier du village.
On repart ensuite dans les bois direction le Puy de Côme avant de rejoindre le Traversin puis le Puy de Dôme et le Col de Ceyssat.
On rejoint ensuite Laschamps, puis Recoleine, Neuville, avant de finir cette journée à Orcival, où l'on termine cette superbe journée par une bière bien fraîche en terrasse face à la basilique. Cette rencontre avec Yann fût très agréable, il ne fait nul doute que nous nous retrouverons à nouveau sur quelques chemins.

Diaporama de la journée (photos de Yann)


Bilan 70km - 1500m de D+

samedi 29 mai 2010

Le GR441 avec Eric

Au mois de mai, je branche Eric pour faire une bonne grosse sortie, le GR441 dans la journée. Le GR441 sillonne la Chaîne des Puys pendant 110 km et environ 2500m de dénivelé positif.
Un 100 kilos est toujours un défi excitant et c'est fin mai que l'on se donne rendez vous de bonne heure au Château de Tournoël, parés pour en découdre.
On va rapidement prendre de la hauteur car le parcours grimpe sans discontinuer pour atteindre la crête des puys de Jumes, Coquille, Puy des Gouttes.

C'est là que nous y ferons une rencontre exceptionnelle, puisque 15 vautours fauves prendront leur envol, surpris par notre présence, à une vingtaine de mètres de nous. (voir diaporama). Enorme émotion sur le coup, nous continuons notre chemin direction le Puy de Dome que nous dévierons car interdit aux VTT avant de rejoinde Laschamps, Saulzet le Froid, Pessade et le Lac Servières.

C'est à l'auberge du lac que nous casserons la croûte, avant de repartir pour l'après midi, direction Orcival et sa basilique, Olby, Mazaye, Saint Pierre le Chastel avec un gros portage, les Cheires de Pontgibaud qui nous ont bien brassées, et Saint Ours les Roches avant de finir à Volvic.
Superbe journée avec un temps magnifique à la clé, ce fût extraordinaire.

Diaporama de la journée :


dimanche 14 mars 2010

Weekend au Caroux - J2

Dimanche 14 Mars 2010 :
La matinée débute au même rythme que la veille. A ceci près qu’on attaque directement dans le vif du sujet en grimpant directement sur les chemins forestiers au dessus des gîtes.

L’ascension se fait à un rythme tranquille. Derrière nous, nous apercevons les souvenirs encore tout frais de la veille.
La montagne que l'on a dévalé la veille sur la voie romaine

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

On arrive à un village sorti de nulle part, mais chut ! On a promis aux habitants de pas dire où c’était ! Question de tranquillité... Après une pause, toujours en plein soleil, on attaque les choses sérieuses. Au programme poussage, portage et poussage. Mais l’effort est récompensé, on arrive à la tour du pin. Les ruines d’une tour de garde construite ... y'a très longtemps. Les derniers mètres finissent carrément en séance d’escalade improvisée.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

La Tour du Pin
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Tekila au bord du vide
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
Photo de groupe en haut de la Tour avant de repartir
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Quelques centaines de mètres plus bas on entame une descente ‘majeure’ comme diraient certains, et pour cause elle figurait au programme de l'endur'haut Languedoc. Une descente à faire pâlir les gorets (pour ceux qui connaissent) hyper technique où les mollets et les tibias souffrent. On s'est bien fait brasser, quelques chutes et OTB sans conséquence

Mais l’odeur du thym frais qui nous accompagne tout au long du chemin pour nous faire oublier tout cela.
On sourit mais on ne sait pas encore que les 30 minutes qui suivent seraient éprouvantes

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

On arrive au village de Vieussan, on sent qu’on n’est pas loin du paradis. On s’installe au bord de l’Orb pour manger et faire quelques ricochets.















On repart vite fait pour une ascension au milieu des vignes, le soleil tape, on aurait aimé être en short.















Mais de là où on est, on aperçoit la descente qui déboule à Vieussan, que l’on vient de se faire.















On empreinte des chemins larges et roulants pour remonter. Jusqu’au moment où on plonge littéralement dans un single étroit et rapide. Que du bonheur. ‘Heureusement’ que Pascal pince sinon on n’aurait pas ramené de photos.















La redescente se termine par une partie de zigzag entre des arbustes fraichement débroussaillé, on aura vraiment tout eu.
Avant de rentrer au gîte, on décide de se faire une dernière ascension pour découvrir les gorges d’Heric, par la route dans un premier temps, on est déjà bien fatigués…Pendant l’ascension on aperçoit la retenue d’eau de l’Airette.

















Après encore quelques petits effort, on arrive sur un hameau là encore sortit de nulle part : Bardoux















On entre dans le village pour prendre la voie romaine qui franchit le col de Bardoux. Le dénivelé n’est pas énorme mais l’effort consenti se fait sentir. On porte les vélos pendant une bonne dizaine de minutes.















Une fois au col, on s’arnache pour une dernière descente avec au programme cette fois-ci pierres humides et feuilles mortes saupoudrées de neige et d'épingles sur le GR7.















Au détour d’un pont s’annonce une autre série de portage éprouvante, mais on garde la banane, ca aide !















Encore un petit bout de chemin et encore un hameau sorti de nulle part, c’est le hameau d’Heric















Enfin, on redescend les gorges d’Heric par le chemin et l'on retrouve des températures plus agréables. Et oh miracle ! On croise quelques personnes, des promeneurs admirant le coin et des gens venus escalader ce genre de spot. On avait vu personne de la journée.















Une jolie cascade en bas des Gorges






 
 
 
 
 
 
 
 


Là se termine notre aventure, on rentre au gîte on remballe tout et c’est déjà l’heure de partir.

Au revoir le Caroux.

Bilan : 39 km - 1700m de D+


Séquences vidéo :

Caroux VTT Arvernes
envoyé par sfourg. - Foot, rugby, surf et encore plus de sports en vidéo.

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