Il est beau Lolo à regarder scier la souche |
Météo agréable cet après midi au départ de Chatel-Guyon, 11 à 12°C et un superbe soleil, ça fait du bien au moral et ça donne envie d'aller rouler dans les chemins. Sont présents au départ : Lolo, Tom, Pépé, Zed, Pierre, Jacques, Plop et moi. Nous partons direction le Mont Chalusset où Lolo nous donnera tout de suite la tendance du jour : ça va rouler et ça va monter sévère, pour garder les bonnes habitudes! Nous atteignons la Vallée du Sans Souci et nous longerons un moment le ruisseau de Romeuf, avant d'embrayer sur un très joli singletrack en montée, alternant petit raidillons et virolos. Nous arrivons au milieu de la piste de DH et nous rejoignons la descente technique de la crête, avec ses nombreuses marches à dévaler, toujours aussi ludique.
Lolo et Pépé sur la dalle de la crête ... plus facile qu'il n'y paraît en réalité! |
Tom "l'gamin" |
Une fois en bas, nous remontons sur la route de Chazeron au prix de gros efforts car le chemin ne rend pas, il y a des feuilles, et nous atteignons la route après un bon poussage qui finira de tous nous réchauffer. On descend le long de la route avant de prendre de la vitesse dans une super sente, assez rapide au début, avec des enchainements de pifs pafs, puis qui descend dans un goulet très technique où ça brasse pas mal dans les cailloux et les racines, quelques zones humides où il faut faire attention avant d'arriver sur le gros sentier en contrebas du parcours de santé. Cette descente est vraiment superbe bien que trop courte, je ne la connaissais pas, je suis pourtant passé des dizaines de fois dans le coin...
Zed |
Une trace de lapin le long d'un grillage nous permet d'enchainer en rythme sur la monotrace qui vient, avant d'arriver au plan d'eau de la Vallée des Prades.
Une jolie montée nous attend, elle se monte assez bien au train, il y a du rythme, et nous enchaînons sur la partie du Roc Errant que nous descendons habituellement, deux ou trois racines à gravir avant d'attaquer l'épingle. On en profitera pour arranger un peu la trajectoire d'une courbe pour éviter de couper à l'intérieur, Lolo et Tom dépannent le pédalier du vélo de Zed qui a perdu des vis de plateaux (Plop en avait dans son sac), puis nous continuons de remonter sans manquer toutefois de nous foutre de la gueule de deux enduristes en moto, empêtrés dans la pente et pas super doués...
Une jolie montée nous attend, elle se monte assez bien au train, il y a du rythme, et nous enchaînons sur la partie du Roc Errant que nous descendons habituellement, deux ou trois racines à gravir avant d'attaquer l'épingle. On en profitera pour arranger un peu la trajectoire d'une courbe pour éviter de couper à l'intérieur, Lolo et Tom dépannent le pédalier du vélo de Zed qui a perdu des vis de plateaux (Plop en avait dans son sac), puis nous continuons de remonter sans manquer toutefois de nous foutre de la gueule de deux enduristes en moto, empêtrés dans la pente et pas super doués...
En haut de la montée, on prendra une petite variante dans les bois de Prompsat, sur les pentes du Puy de Grammont, que je ne connaissais pas non plus : un super sentier descendant très ludique, avec des zones techniques, et de nombreuses racines, c'est très grisant et ça passe plutôt bien, sauf vers la fin où des arbres morts sont tombés en travers du single, finissant dans un ruisseau qui demandera parfois de la relance pour franchir les quelques dernières difficultés avant de rejoindre un chemin qui mène à un étang de pêche. Encore un très bon choix de notre gourou, cette descente !
Jacques |
On remontera tout en haut du Roc du Diable, par un single en montée, avec une épingle avant de rattraper le chemin principal avec son mur final qui tanne les cuisses! Après tous ces efforts, il est grand temps d'engloutir un peu de D- et nous nous gaverons dans la descente du Roc Errant, que nous avions grimpé auparavant, avant de couper la route de Loubeyrat pour poursuivre la descente et franchir le gué du ruisseau des Prades. Ma roulette d'antidérailleur en profite pour se faire la malle, heureusement Plop la retrouvera avec ses petits yeux de fouine (merci ^^ ). Un peu de roulant et une grimpette dans le parcours de santé plus tard, on décide de remettre ça et on reprend la super descente qui finit dans le goulet. Le repérage de la première fois a bien servi, surtout pour le final, afin d'éviter les grosses racines. On reprend un tour de manège pour remonter en haut du parcours de santé et nous prenons la direction du Parc Ecureuil, en enchaînant rapidement dans le sentier qui surplombe la route. Ce sentier est bien rigolo on peut aller assez vite, il y a quelques racines à négocier une marche et deux trois virages à gérer.
Nous prendrons la variante cassante au dessus du Parc, tout en caillasses avec de beaux passages techniques, et nous finissons par la descente traditionnelle, au milieu des arbres et des racines, avant de rejoindre le bas de la Vallée du Sans Souci. Direction maintenant les voitures, on finit de se fusiller les jambes dans le parcours de santé, avant un sprint final sur un faux plat avec Pépé qui remporte le maillot vert. On arrive aux voitures, bien rincés mais Dieu que cette sortie était bonne. Tous les ingrédients étaient réunis : beau temps, un bon groupe, plein de chemins super sympas dont quelques découvertes pour moi, une bonne forme physique, bref, le top!
Nous prendrons la variante cassante au dessus du Parc, tout en caillasses avec de beaux passages techniques, et nous finissons par la descente traditionnelle, au milieu des arbres et des racines, avant de rejoindre le bas de la Vallée du Sans Souci. Direction maintenant les voitures, on finit de se fusiller les jambes dans le parcours de santé, avant un sprint final sur un faux plat avec Pépé qui remporte le maillot vert. On arrive aux voitures, bien rincés mais Dieu que cette sortie était bonne. Tous les ingrédients étaient réunis : beau temps, un bon groupe, plein de chemins super sympas dont quelques découvertes pour moi, une bonne forme physique, bref, le top!
Pierre |
Tekila |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire